On est des petits nouveaux dans le monde numérique.
Si on m’écoutait, on en serait encore à écrire avec une plume d’oie ou une machine à écrire et on correspondrait via le télégramme (pour les urgences). Pour le design, c’est donc sans conteste Rémy le cerveau des opérations. A la base, il n’y connaissait rien non plus mais quand on a commencé à se dire que ce serait sympa de faire un blog pour notre voyage, il s’est plongé sur le sujet. Et ceux qui connaissent Rémy savent qu’il est plutôt obstiné comme mec !
Mais au fait, pourquoi bloguer ?
Parce qu’on s’est dit que ce serait sympa que les gens qu’on connait puissent suivre directement notre voyage en ligne. Et aussi parce que ça nous fait un nouveau projet à deux. Un projet avant LE projet pour patienter. On y a rapidement pris gout, on l’avoue ! Et pour ma part, je ne pensais pas que ce serait autant le cas. Ce qui est bien c’est qu’on s’est naturellement réparti les tâches selon nos gouts respectifs. Moi à l’écriture et Rémy à la « régie » ! Donc si vous vous dites « je sature de cette écriture, c’est barbant » : je suis la fautive. Par contre, si vous vous dites « c’est galère de s’y retrouver ici » : c’est Rémy le responsable. On a envie de progresser donc on reste ouverts à la critique (constructive). C’est un enseignement trouvé dans l’épisode 66 de la saison 15 de Top Chef.
Les écueils qu’on VEUT éviter
1. Trop se prendre au jeu : Ce blog on le fait parce que ça nous amuse. Si ça devait au fil du temps être plus une contrainte qu’autre chose, il faudrait qu’on sache s’arrêter. On veut profiter de nos instants voyages à fond, pour nous, et ne pas penser « blogging, blogging, blogging » à longueur de journée. Quitte à le faire, on a envie de bien le faire, c’est normal. Mais il faut qu’on garde cet esprit tranquille, sans pression.
2. Tomber dans la moralisation facile : on ne voudrait pas que ce qu’on raconte soit mal interprété. Nous, on a fait ce choix là parce que ça correspondait à notre volonté du moment. Mais on ne prétend pas DU TOUT détenir la vérité ou la clé du bonheur. Tout le monde a des envies ou besoins différents. Ce n’est pas parce qu’on a décidé de voyager qu’on a tout compris, qu’on est des sages philosophes et blablabla. Notre choix n’engage que nous.
3. Faire croire qu’on vit une vie « Instagram » : en ne montrant que le bon côté des choses et en éludant les galères et les coups de blues. Rassurez-vous, même si Rémy voit souvent que le bon côté des choses, ce n’est pas forcément mon cas. On ne se créera pas un monde fictif et féérique à la Disney. On sera le plus honnête possible. Bien sûr si c’est vraiment le paradis, on le dira aussi ! On va pas non plus se la jouer à la causette.

Conclusion /
nos objectifs de blogueurs :
– Garder un lien et partager avec vous. Et si ça en intéresse quelques-uns, c’est top !
– S’amuser et améliorer nos compétences numériques
– Garder une trace de notre voyage (parce qu’on a vite la mémoire qui flanche !)

